Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, LÉpouse Hypersexuelle (2) : De La Découverte De Mon Hypersexualité À Ma Rencontre Avec Philippe.
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je poursuis le récit de mon parcours dhypersexuelle. Je lassume même si aujourdhui je regrette certains aspects, et tout particulièrement mon attitude envers mes parents.
Mon initiation par Gianni et Maria, quelques mois après ma majorité sexuelle, qui, dans mon pays, est de 15 ans, ma profondément marquée et, jusque ma rencontre avec Philippe, 9 ans plus tard, a profondément marqué mon orientation sexuelle.
Pendant toutes ces années, jai collectionné les amants et les amants, mais aussi les maîtresses, car je me sentais autant attirée par les beaux mâles que par les jolies femmes. Je ne mintéressais pas aux garçons et filles de mon âge, je recherchais des relations avec des hommes et des femmes dexpérience, donc plus âgés que moi.
Mes professeurs furent ma cible privilégiée. Dès le lycée, je multipliais les provocations, veillais à porter des tee-shirts échancrés ou des chemisiers décolletés, des jupes courtes, avec, en dessous, soit un mini-string, soit pas de culotte du tout, de façon à ce que ceux que je voulais sachent que jétais totalement disponible. Quand loccasion se présentait, jattaquais ma «proie» quand nous étions seuls, y compris en salle de classe, dans leur voiture ou chez eux où je métais rendue officiellement pour un cours particulier.
En général, je parvenais à mes fins. La première fois, je lai fait à la fin dun cours, où jétais restée pour demander des informations. Mon professeur de physique a été tétanisé quand je me suis approchée de lui, après avoir fait tomber ma jupe et mon chemisier.
Mais Mademoiselle A, que faites-vous, vous êtes folle ?
Taisez-vous et laissez-moi faire, je sais que vous en avez envie aussi. La preuve, tu bandes très fort !
Dès que javais posé les mains sur lobjet de mon désir, je prenais les choses en mains et les adultes étaient la plus part du temps paralysés par cette jeune fille qui prenait toute les initiatives et, très rapidement, ils capitulaient, se laissant aller à mes caresses et à mes baisers.
Jentretenais alors avec mon amant du moment une relation qui durait quelques semaines, le temps de le découvrir avant de passer à un autre. Je voulais aussi faire le tour dune relation. Quand mon amant était marié, je le poussais à ce quil mamène à son domicile, afin que nous fassions lamour dans le lit conjugal. Jétais fasciné par ladultère et je demandais souvent à mon amant si jétais plus douée que son épouse. Il est arrivé que nous soyons surpris par des épouses ou compagnes légitimes. Ça sest quelquefois mal passé, la femme trompée faisant un véritable scandale.
Jai été la cause de crises conjugales, voire de divorces. Je suis tombée sur de vraies hystériques, qui me couvraient dinjures et même quelquefois magressaient physiquement. Une fois, jai eu affaire à un homme particulièrement lâche, qui a supplié son épouse, lui a dit que jétais « une petite putain qui lavait obligé», que je le faisais chanter car javais des photos et mêmes des vidéos de nos ébats (ce qui était vrai, pas dans le but de faire pression, mais parce que je constituais une sorte de « tableau de chasse »). Ce jour-là, après quelques échanges de coups avec lépouse bafouée, je fus jetée dehors de lappartement, me retrouvant entièrement nue sur le palier.
Si cette mégère sattendait à ce que je me mette à supplier, à crier ou à pleurer, elle se trompait. Plutôt rentrer chez moi dans le plus simple appareil ! En fait, je me suis rendue chez le concierge de limmeuble, dont le puceau de fils était un camarade de lycée. Je nai pas hésité à sonner :
Bonjour Monsieur, je suis Olga, je suis au lycée avec votre fils Constantin.
Rentre, ne reste pas là, on pourrait te voir. Je sais qui tu es, jai trouvé des photos de toi dans les affaires de mon fils. A mon avis, tu dois occuper les plaisirs solitaires de mon fils ! Avec ces photos, je savais que tu adorais thabiller court, jai même vu une photo où il était clair que tu ne mettais pas de culotte.
Je peux vous expliquer.
Inutile, je sais que tu es la maîtresse de Monsieur X, votre professeur dhistoire. Je tai vu plusieurs fois aller chez lui, je vous ai même matés en train de vous embrasser, jai même cru quil allait te baiser dans lascenseur !
Jaurais bien aimé, il na pas osé !
Petite vicieuse ! Et pourquoi tu te retrouves chez moi, à poil ?
Et bien Madame X nous a surpris, elle ma mise à la porte, comme ça et lui a laissé faire. Jai pensé que vous pourriez maider. Je ne peux pas rentrer ainsi chez moi, même si ça ne me déplairait pas !
Tu as frappé à la bonne porte, ma petite. Ma femme, à vue dil, a un peu près la même taille que toi. Je te prêterai un chemisier et une jupe, pas besoin de soutien-gorge ni de culotte, nest-ce pas ?
Je vous remercie infiniment.
Pas besoin de remerciements. Tu vas payer ça en nature, petite pute ! Je suis certain que tu es excitée dailleurs !
Je touchais ma chatte, qui était encore bien ouverte de mes ébats de laprès-midi avec Monsieur X. Je mouillais à nouveau. Les pointes de mes seins devenaient durs, signe que le comportement de ce macho, cet inconnu, père dun de mes condisciples, qui me traitait comme une putain, mexcitait.
Oui, tu vas me baiser !
Je me suis approchée de lui, alors quil se mettait nu à son tour, faisant apparaître ses muscles et une belle verge. Il ma prise dans ses bras, ma embrassée brutalement, pour bien montrer sa possession, puis ma repoussée.
Pas besoin de tendresse avec toi. Tu crois que tu es une petite bourge, en fait tu nes quune petite pute. Jimagine si tes parents voyaient leur fille chérie se faire sauter. Pour commencer, mets-toi à genoux et fais-moi une pipe !
Je nai pas discuté, je me suis agenouillée et après quelques coups de langue, je lai prise bien au fond de la bouche. Cette queue était odorante, mais quand je suis dans cet état dexcitation, je surmonte ma répulsion et je mets tout mon art pour donner le maximum de plaisir à mon amant du moment.
Ouah, tu pompes comme une reine ! Et tu prends bien au fond de la bouche, ta langue autour de mon gland me rend fou. Petite salope, tu veux me faire gicler pour que ça se termine ? Ca ne me déplairait pas de tenvoyer ma purée dans la gorge, mais je me réserve pour ta chatte ! Je veux te niquer !
Je me suis interrompue car je ne voulais pas quil jouisse trop vite, javais trop envie dêtre prise. Je lui ai fait comprendre que je voulais être prise en levrette.
Viens salaud, viens me prendre, ton fils en rêve. Je ne serai jamais à lui. Je naime que les mâles, les vrais, comme toi, ceux qui menvoient en lair.
Tu vas couiner, petite garce !
Tu ne mets pas de préservatif ?
Et puis quoi encore petite putain ? Je veux te prendre comme ça. Tu prends tes précautions au moins que je ne te féconde pas ?
Oui je me procure la pilule, je ne baise quavec de bons pères de famille et je me fais contrôler régulièrement. Jaime quand les mâles envoient leurs spermatozoïdes dans mon vagin. Les tiens vont rejoindre la semence de Monsieur X qui sest vidé trois fois en moi cette après-midi.
Ce macho était un excellent baiseur. Il ma besogné longuement, ses couilles lourdes et pleines tapaient sur mes fesses.
Il me couvrait dinjures, alors que mes gémissements se transformaient en hurlements de plaisir.
Tu es vraiment une salope ! Je vais venir, je vais te remplir !
Oui, vas-y, envoie ta purée, je la veux ! Ouiiiiiiii
Je me suis presque évanouie. Ce type, qui avait profité de la situation, était un des meilleurs baiseurs que javais rencontrés jusqualors.
Il ne sest pas attardé en tendresse, comme jaime après avoir fait lamour. Il ma amené une jupe de sa femme et un chemisier et ma dit :
Prends ça et casses toi vite. Ma femme et mon fils ne vont pas tarder. Pas envie quils te voient.
Jaurais aimé me laver.
Pas la peine, tu es une putain et cest bien que les gens sen rendent compte ! Tu reviens dans trois jours me rapporter les vêtements nettoyés et jaurais un peu de temps pour te sauter. En attendant, évite de coucher avec dautres mecs.
Tu ne membrasses pas ?
On nembrasse pas une putain.
Pour rentrer chez moi, jai pris les transports en communs. Javais essayé deffacer les traces de mes ébats de laprès-midi mais ça néchappait pas à un observateur attentif. Pour la première fois, javais honte de moi, je métais comportée comme une prostituée noserait le faire, moffrant à un parfait inconnu. En même temps, la façon dont il mavait traitée avait accentué mon plaisir.
Jai été la maîtresse de cet homme pendant plusieurs semaines. Il mattirait, par la façon dont il me traitait et parce quil était un amant exceptionnel. Mais ce qui me fit fuir est quil exigeait lexclusivité.
Quand je lui annoncé que cétait fini, il a tout essayé pour me retenir. Des menaces de me dénoncer à mes parents, à qui il montrerait des photos de moi quil avait prises. Il a fini par supplier, dire quil était fou amoureux de moi, quil divorcerait pour mépouser, quil me ferait un .
Je ne suis pas une femme pour toi et tu nes pas un homme pour moi. On arrête là !
Salope !
Il ma flanqué une baffe. Je suis partie sans larmes car jamais un homme ne me verra pleurer. Jai aussi refusé de dire à mes parents quelle était la personne qui mavait fait ça, car jai gardé les traces de la gifle quelques temps.
Et jai aussitôt repris mes frasques.
A propos des épouses, jai aussi eu des expériences heureuses. Avec Daphnée, lépouse de lhomme que javais séduit à ce moment-là et qui nous avait surpris dans le lit conjugal, ça sest formidablement passé. Jai réussi à lattirer vers moi, à la prendre dans mes bras, à la déshabiller avant de linitier aux plaisirs saphiques. Notre amant commun en a eu plein les yeux, nous avons ensuite fait lamour à trois, avant de continuer seules. Le paradoxe a été que jai poursuivi pendant plusieurs mois une relation saphique avec Daphnée, qui avait quitté son mari.
Souvent, je nattendais pas quune relation soit terminée pour en entamer une autre
Pour être honnête, il sen est trouvé parmi mes « proies » qui nont pas cédé à mes charmes et qui me repoussaient, quelquefois violemment. Ca se terminait alors par une gifle, par un rapport à ladministration et une convocation des parents, suivie de sanctions.
Et cest là que les choses ont commencé à se gâter avec mes parents car jétais encore mineure. Jai eu droit à des scènes violentes. Mon attitude de défi rendait mon père fou de rage. Je reconnaissais et revendiquais mes exploits, expliquant que jaimais ça et que je continuerai. Je ne pleurais pas, je ne baissais pas les yeux. La rupture sest produite quand je suis allée trop loin :
Tu me donnes des leçons, toi qui collectionne les maîtresses ? De quel droit ?
Mon père, qui adorait sa fille unique, qui navait jamais levé la main sur moi, est devenu blême, sest dirigé vers moi et ma administré les deux plus monumentales baffes de ma vie. Puis il ma basculée sur ses genoux, a descendu mon jeans, constatant avec horreur que je ne portais pas de culotte et que je maculais son propre pantalon du fait du sperme qui était dans ma chatte car je venais de faire lamour avec mon amant du moment.
Petite garce nymphomane, je ferai sortir le démon de toi ! Je te ferai soigner de force, je te ferai enfermer.
Il accompagnait ses paroles dune violente fessée, mon joli cul devenait rouge, mais, encore une fois, je me retenais de crier ou de pleurer. Au contraire, je provoquais et je défiais :
Tu peux continuer, vas-y plus fort, jaime ça. Ca mexcite et je crois que toi aussi, vue la bosse dans ton pantalon.
Monstre !
Il ma repoussée violement, a défait la ceinture de son pantalon, a arraché mon tee-shirt et commencé à me frapper avec sa ceinture.
Je ne sais pas comment ça se serait terminé sans lintervention de ma mère.
Fais ce que tu veux avec elle, je nai plus de fille !
Ma mère a commencé à maccabler aussi de reproches et de menaces. Jai alors sorti la carte que javais envers elle. Depuis plusieurs années, elle nétait plus lépouse modèle, coincée, quelle avait toujours été. Elle était devenue la maîtresse du meilleur ami de mon père. Très discrètement, je les avais observés lorsquelle recevait son amant dans le lit conjugal.
Elle est devenue pâle mais se voulait ferme envers moi. Pourtant, à partir de là, plus question de soigner de force ma « nymphomanie » dans un hôpital. Mes parents se sont contentés de menvoyer dans un internat. Cela ma un peu compliqué la tâche, mais moffrait en fait un nouveau terrain de chasse. Cela constituait un défi pour moi que de rejoindre un amant, professeur, surveillant, personnel de la maison, dans leur chambre ou à tout autre endroit. Ca a fini par un nouveau scandale, il a fallu menvoyer dans une autre maison.
Je terminais enfin mes études secondaires et je devenais majeure. Ma rupture avec mes parents fût scellée après un ultime scandale. Je voulais moffrir lamant de ma mère, qui était en même temps le meilleur ami de mon père. Je nai cessé de le harceler jusquà ce quil succombe. Le malheureux devait satisfaire deux maîtresses, la mère et la fille. Il était tombé amoureux de moi. Veuf, il voulait mépouser, me demandait de cesser de prendre la pilule afin de me faire un .
Et ce quau fond de moi je voulais, est arrivé, ils nous ont surpris en train de faire lamour. Ce fut épouvantable. Les amis de trente ans en vinrent aux mains, pendant que ma mère devenait hystérique. Il faut dire que la provoquais :
Tu crèves de jalousie parce quil ma dise que jétais bien meilleure au lit que toi ?
Pour la deuxième fois de ma jeune expérience dhypersexuelle, je me suis retrouvée nue dehors, mais cette fois chassée de chez moi, ayant rompu avec mes parents. Jai vécu quelques temps chez cet homme mais, ne laimant pas, il a fini par me lasser. Jai ensuite vécu chez Daphnée, mon ancienne amante, qui ne mavait pas oubliée et qui, à cause de moi, était devenue exclusivement lesbienne.
Jai poursuivi le même mode de vie à luniversité, ce qui ne ma pas empêché de poursuivre de brillantes études et de décrocher un concours dans la haute fonction de mon pays, un poste qui mamenait à voyager beaucoup. Javais 22 ans, javais connu depuis mes 15 ans une vie sexuelle trépidante, mais jamais je navais réellement été amoureuse.
Cest ma rencontre avec Philippe qui ma apporté lamour. Je raconterai, dans un prochain texte, cette rencontre décisive qui a bouleversé notre vie à tous les deux, en permettant daller au bout de notre nature : moi comme hypersexuelle, lui comme candauliste.
(A suivre)
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